vendredi 21 juin 2013

Retour



Chers amis,

C’est ici que se termine notre aventure. Nous sommes rentrés en France le 20 juin après avoir pris 2 avions, décollé 3 fois et « supporté » 17 heures de vol.
Après Rurrenabaque, nous sommes revenus 2 jours à La Paz où nous avons finalisé nos achats et fait nos bagages.
Nous sommes retournés à l’hôtel où nous avions déjà séjourné 3 fois et le personnel à été ravis de revoir nos enfants !
Après la chaleur de Rurre, nous avons retrouvé le froid, petit avant goût de ce qui nous attendait en France !
Les maisons ne sont pas isolées, le chauffage n’existe pas, alors on dort avec 4 couvertures et son pull !
Mercredi matin, nous nous sommes donc levés à 4h, « c’est aujourd’hui qu’on rentre en France » nous a dit Marius avec un grand sourire.
Le taxi nous attendait dehors une demi-heure plus tard pour nous conduire à El Alto, sur les hauteurs de la ville où se trouve l’aéroport. 30 petites minutes nous sont nécessaires pour arriver là haut. Pof pof pof, on décharge tout notre bazar et on s’enregistre au comptoir. C’est un peu long car la dame nous dit qu’elle n’arrive pas à nous trouver quatre places côte à côte, que ce n’est pas facile quand il y a des enfants, mais qu’elle va faire son nécessaire pour qu’on soit ensemble dans l’avion. Les enfants sont impatients, Lison se met à pleurer au passage de la douane car elle veut monter tout de suite dans l’avion !
Après 1h30 d’enregistrement, de paiement (il faut payer une taxe de 100 dollars pour quitter le pays – super comme cadeau de départ !) et d’attente, nous décollons enfin, direction Santa Cruz au sud du pays pour notre première étape ! Nous avons le ventre vide et on apprécierait bien un petit déjeuner, mais non, nous n’aurons droit à rien durant ce premier vol !
1 heure plus tard, nous descendons déjà de l’avion pour une heure d’attente, avant de remonter... dans le même avion, direction Miami aux Etats-Unis. 7 heures d’avion cette fois-ci qui se passeront nickel. On mange enfin (petit-déjeuner et déjeuner), Lison joue avec la dame d’à côté, Marius regarde par le hublot, on papote, on ferme un peu les yeux, bref le temps passe assez vite (on est rôdé, quoi !)
Arrivés à Miami, on va dire que c’est là que ça se complique... On a 1h20 avant notre prochain avion, mais comme les Américains veulent tout contrôler, il faut qu’on récupère nos bagages, qu’on repasse les contrôles, la douane, qu’on réenregistre nos bagages, bref c’est la merde et tout est contre nous !
Comme on est au dernier rang dans l’avion, on sort les derniers ! On court, on court on réussit à doubler tout le monde et à arriver les premiers au premier contrôle. Là on passe devant tout le monde (hou c’est pas bien !) et on prend notre mal en patience en attendant notre tour. Vérification d’empreintes (les 4 doigts de la main droite, le pouce de la main droite, les 4 mains de la main gauche, le pouce de la main gauche), photo de notre frimousse, on dit gentiment à la dame qu’on a un avion à prendre mais elle nous répond « gentiment » que ce n’est pas son problème ! Ensuite on court récupérer nos bagages et après un petit moment, un monsieur de l’aéroport nous dit que ce n’est pas la peine d’attendre devant le tapis roulant, que toutes les valises ont été déchargées à côté. Un, deux, trois, quatre... C’est bon, on a tout, direction le deuxième contrôle où tous les passagers de notre avion sont repassés devant nous. Julien cherche de l’aide auprès d’un agent de l’aéroport pour essayer de nous faire passer plus vite mais ce dernier lui répond que ce n’est pas la peine de speeder car de toute façon on va louper notre avion !
Alors on prend notre chariot de valises, on grille tous les gens et on demande aux premiers de la file de bien vouloir nous laisser passer, avec des excuses et un sourire poli. Là le douanier nous engueule devant tout le monde en disant que ça ne se fait pas (la honte, la honte, la honte !) mais il nous laisse passer quand même (merci les enfants, je crois que c’est vous qui nous avez sauvés, le bonhomme a du avoir quand même un peu pitié !)
Rebelote, on recourt et on a plus de chance car aux autres contrôles des agents nous font passer rapidement... On laisse nos bagages à la va vite, on prend un escalator, puis un autre...Là re re contrôle... Notre sac à dos ne passe pas... Il faut que la dame le fouille, que Julien enlève ses chaussures, son chapeau, qu’on enlève la bouteille, qu’on enlève l’ordi, qu’on refasse passer le sac... Pis c’est le sac à dos de Marius qui sonne (ah mince, on a oublié d’enlever la canette de coca...)... Il nous reste 30 minutes avant le départ de notre avion, on stresse, on stresse, on stresse !
Enfin tous les contrôles sont terminés, il faut maintenant qu’on trouve notre salle d’embarquement. On est porte n°28, après un coup d’œil sur les écrans de départ, on apprend qu’on doit se rendre quai n°2. On se remet à courir, on reprend des tapis roulants qui ne roulent pas et des escalators et on arrive en haut. Là il nous faut prendre une navette comme un petit métro (il est trop grand ce Pu.... d’aéroport !!!!). Dans la navette, on met notre stratégie en place : Julien va courir devant avec les passeports pour « retarder » le départ en attendant que j’arrive avec les enfants !
10 minutes plus tard nous arrivons essoufflés et tous rouges et Julien m’annonce : « c’est bon, ils sont en train d’embarquer les première classe » On était sauvés, on allait avoir notre avion !!!
Lison a passé les 9 heures de vol à dormir ; Marius a pris plus son temps, il a mangé, regardé un peu la télé, mais il a aussi bien dormi. Pour Julien et moi, ça a été plus dur, on n’a pas trop fermé l’œil...
Nous sommes arrivés à 8h30 à Paris, nous avons mis 15 minutes à passer un petit point de contrôle et à récupérer nos bagages. Bienvenus chez nous !

Ca fait maintenant 48 heures que nous sommes rentrés.

Marius et Lison ont redécouvert leurs jouets et ça a été génial de les voir jouer... Ils ont ensuite découvert ce que le Père Noël avait laissé pendant leur absence, on a vue des yeux qui pétillent devant la « bicyclette » (c’est comme ça que Marius appelle son vélo) et Lison est « tai contente que le Pai Noël lui ait apporté un bébé).

Ils ont rencontré pour la première fois leur cousine Camille qui a trois mois et ils ont découvert un grand bébé de 1 an, Axel, leur cousin qui n’avait que quelques jours au moment du départ.

Julien a apprécié de manger du fromage... Du vrai fromage français !

Nous avons tous les 4 dormi plus de 12 heures la première nuit. Première grasse matinée pour tout le monde depuis 1 an, et on peut même dire vraie première grasse matinée depuis la naissance de Marius !! On s’est réveillés à 11h30...sans aucune interruption pendant la nuit, un miracle !

On a retrouvé nos affaires (chouette, on va pouvoir porter autre chose que les mêmes guenilles qu’on a mises pendant un an !!) quoique pour Marius et Lison il va falloir faire rapidement les soldes car ils ont grandi ces deux gamins là ;

On a retrouvé les papas, mamans, pépé, mémé, papies, mamies, papinou, maminou, cousin, cousines...

Marius est très content d’être rentré en France, Lison est contente de voir qu’il y a des « baño » et du « papel de baño » dans toutes les maisons (ce sont les WC et le papier toilette ; notre petite fille mélange de l’espagnol dans ces phrases quand elle parle).

Nous écrirons peut-être encore un ou deux messages sur notre blog avec encore quelques photos...

D’ici là, si vous avez suivi notre blog, n’hésitez pas à nous envoyer un message par mail en nous disant ce que vous avez aimé, les récits, les photos, si vous avez des questions, etc...
Ca nous fera plaisir et ça prolongera encore un peu l’aventure pour tout le monde !!
à bientôt !! J

vendredi 14 juin 2013

La selva



Nous voici donc repartis pour une petite expédition, cette fois-ci dans la jungle. Nous avons fait le choix de ne pas aller très loin dans la forêt, d’une part pour nous éviter des heures de transport et d’autre part nous savions que nous ne pourrions pas beaucoup marcher avec les enfants, donc cela ne servait à rien d’aller trop loin.

Rendez-vous donc à 9h sur les rives du Béni, où nous attendent nos deux guides, Donzalo et Pablo ainsi que notre chauffeur de pirogue, Marco.




 









Après 30 minutes de bateau nous arrivons près de la communauté de San Miguel où nous allons passer ces deux-jours. Nous déchargeons les vivres et nos affaires et nous grimpons les quelques mètres qui nous séparent de notre lieu de campement, une cabane dans les bois.
Ici c’est le paradis pour les amateurs de fruits… Autour de nous, pléthore de pamplemousses, oranges, citrons, fruits de palmiers dont j’ai oublié le nom, etc… Il y en a tellement qu’ils jonchent le sol de toutes parts ! 

Pendant que Donzalo se met aux fourneaux, Pablo nous emmène pour une petite balade vers la communauté où vit une trentaine de familles. En chemin, nous rencontrons quelques femmes qui tissent des feuilles de palmier pour en faire des objets divers (éventails, paniers, chapeaux…) ; je me serais bien arrêtée pour apprendre leurs techniques !
Pablo, en guide attentionné, nous montre, nous explique… Tantôt, armé de sa machette, il coupe quelques bananes de l’arbre pour Marius et Lison, tantôt il nous montre une plante médicinale ou bien encore il nous explique comment fonctionne l’espèce de grosse machine en bois qui sert à extraire le jus de la canne à sucre.
  
 


 









Puis nous arrivons à l’endroit où vit son beau-père, une cabane au milieu de la forêt luxuriante. Pour le plus grand bonheur de nos enfants, il attrape deux grosses noix de coco dont nous boirons le jus et mangerons la chair ! Ensuite, retour au campement par le fleuve où nous attend notre déjeuner.

L’après-midi, pendant que Lison et Julien font la sieste, Marius aide Donzalo à trouver des vers pour aller pêcher. Ce sont des « Tuyu-tuyu » (prononcer Touyou, touyou) que l’on trouve à l’intérieur de petites noix, fruits de certains palmiers. Après la petite séance pêche qui malheureusement s’avère infructueuse, nous reprenons la pirogue pour aller au fil des flots du Béni, ce grand fleuve marron qui charrie des troncs d’arbres de parts et d’autres de son lit. Les paysages sont splendides, on se laisserait bien bercer 

comme cela pendant des heures, si on n’avait pas deux petits loulous à surveiller de près ! Entre Marius qui se la joue moussaillon et qui monte sur les bords du bateau, et Lison qui ne tient pas en place plus de 2 secondes, pas évident d’être zen et détendu ! Ici pas de risque de se faire mordre par un croco mais le fleuve est large et a du courant et bien sûr on n’a pas de gilet de sauvetage, alors autant être prudent !



Après la balade, nous pêchons encore et là nous avons plus de chance ; Pablo attrape deux poissons qui font la joie de nos enfants. Chacun un poisson en main, ils ne les lâcheront pas jusqu’au retour ! Nous rentrons tôt au campement, mais l’idée est heureuse car la pluie arrive…Pendant que nos deux guides se remettent à la cuisine, Julien et les enfants font une douche sous la pluie, au milieu des arbres, car outre le plaisir, il n’y a plus d’eau au seul et unique robinet, qui se trouve dehors (les maisons de la communauté sont toutes approvisionnées en eau grâce à des tuyaux qui courent sur des kilomètres et qui sont reliés aux sources qui descendent de la montagne).
Et en plus, il finira dans notre assiette !

Nous prenons notre repas du soir à 18h (il fait déjà nuit) et à 19h10 nous sommes fin prêts pour dormir. Il pleut dehors et nous n’avons rien à faire, donc nous nous couchons !
La surprise du chef c’est qu’on n’a pas de lit… et qu’on va partager la cabane avec nos deux guides. Pas très douillet et intime comme installation ! Donc en guise de lit, nous avons deux couvertures par terre posées sur une bâche, recouvertes d’une moustiquaire (car forcément les moustiques et autres bestioles avides de sang entrent dans la cabane de bambous comme dans un moulin !)
Le lendemain matin, à la question rituelle « Avez-vous bien dormi ? », Julien répondra poliment « Mas o menos » (plus ou moins !)

Mélin a été courageuse, levé de soleil sur le Beni


Le lendemain donc, nous partons en balade à travers la géante jungle de millions d’hectares. Pas évident de marcher car le sol est bien glissant ; nous avons prévu l’écharpe pour porter Lison et Marius marche en jouant aux aventuriers explorateurs. Il nous faut regarder partout au cas où y aurait des p’tites bêtes, éviter de toucher les arbres au cas où y aurait des p’tites bêtes,…
En tout nous marcherons environ 4 heures, nous apercevrons furtivement un singe hurleur en haut de son arbre, verrons une myriade de papillons multicolores (jaune et bleu, noir à pois violets, turquoise, rose, etc…), des milliers d’arbres, des fourmis géantes (les voilà les p’tites bêtes !)…
Elle a l'air de rien mais elle mesure 3 cm...


De retour, il est l’heure de faire les sacs et de rejoindre Zuzze.Nous n’avons eu qu’un bref aperçu de la jungle… Peut-être reviendrons nous quand les enfants seront plus grands et cette fois-ci nous pourrons nous enfoncer plus dans la selva et y rester plus de temps afin d’explorer plus à fond ses richesses.

mardi 11 juin 2013

Rurrenabaque

 



Après avoir passé quelques jours à la Paz, nous avons pris la direction de Rurrenabaque, au Nord. Cette fois-ci nous avons pris l’avion pour nous épargner les 18 heures de bus qui relient les deux villes. En 50 mn, nous sommes passés de 2°C (à La Paz), à 30°C à la sortie de l’avion, avec 94% de taux d’humidité dans l’air.
Où est Marius ! Au bar...
Les gens dédaignent le vélo pour les motos qui sillonnent les rues toute la journée dans un boucan d’enfer.
Une « promenade des Anglais » a fait surface le long du Béni et quelques bars passent de la musique à fond la caisse (on ne comprend pas bien pourquoi ni pour qui mais ce qui est sûr c’est qu’on entend la musique de très loin).


 Ca fait du bien de retrouver la chaleur après le très frais de la capitale ; par contre on retrouve aussi les moustiques dont on se passerait bien, mais jusqu’à présent on peut dire que les précautions de base (vêtements longs et anti-moustique) nous on permit d’être épargnés.

Après avoir sillonné les rues en quête d’un guide, nous choisissons Donato et son fils Gary qui a 10 ans avec qui nous partons trois jours dans la pampa.

Vendredi matin nous sommes prêts pour partir à l’aventure ! 4 heures de 4x4 sur une piste pleine d’ornières nous permettent d’atteindre les rives du fleuve Yacuma, à 107 kms de là.
De là, il nous faut encore prendre une pirogue (à moteur !) pour rejoindre notre campement. Nous embarquons donc tous les 9 (nous 4, Donato, Gary, notre cuisinière et ses deux enfants) et c’est parti pour trois heures de navigation, à la rencontre de la faune locale !

Et il ne faut pas attendre bien longtemps pour apercevoir les premiers habitants de ces rives chaudes et humides : Alligators, caïmans (nous en verrons des centaines pendant ces trois jours), hérons, martins pêcheurs, tortues, oiseaux du paradis, cormorans…
Capibara et ses petits



Arrivés au camp, nous avons la chance d’apercevoir un petit singe jaune qui se délecte de plants de pastèque qui attendent d’être mis en terre ! Julien a même la chance d’apercevoir un toucan (le seul qu’on verra pendant ces trois jours !)
Nous nous installons dans notre cabane, les enfants jouent avec Gary et les deux petits garçons de la cuisinière puis nous prenons notre repas du soir tôt, à la lumière d’une bougie, car bien entendu il n’y a pas d’électricité ici (ni d’eau chaude, mais bon on s’en passe facilement !)
Après le dîner, Donato nous propose de faire une petite balade nocturne dans la pirogue pour observer les yeux des caïmans et des alligators qui brillent dans le noir. Nous verrons des dizaines et des dizaines d’yeux orange et rouge foncé pendant cette virée d’une petite demi-heure.

Nous nous couchons tôt après cette grosse journée afin d’être frais et dispos pour la suite du programme.



 

Samedi matin, après un petit déjeuner copieux (c’est pas souvent ici !), nous partons en balade à pied dans la pampa. Ce n’est pas évident car il fait chaud, nous devons marcher dans des herbes très hautes qui nous arrivent au genou, les bestioles nous collent de très près et par-dessus le marché, il nous faut porter notre progéniture car forcément c’est mission impossible pour eux que de marcher là dedans !
La balade est sympathique malgré ces conditions quelques peu hostiles… On ne verra malheureusement pas d’anaconda, mais on apercevra des cigognes et des aras jaunes et bleus.





 
L’après-midi, nous reprenons le bateau pour aller à la rencontre des dauphins roses d’eau douce (Bufeos). Donato nous emmène dans un petit recoin du fleuve et là nous passons deux heures magiques au milieu de ces mammifères marins ! (des marins d'eau douce quoi !)* Au début nous ne pensions pas nous baigner, car nous avions du mal à nous imaginer dans le fleuve au milieu des caïmans et des piranhas. Mais finalement on oublie vite nos appréhensions et on se jette à l’eau ! (Même si on aperçoit quelques crocos sur la berge non loin de là !) Les dauphins qui sont très curieux s’approchent de nous et on a même la chance de les toucher ! Ils sont joueurs aussi et nous éclaboussent allègrement ! Donato nous a dit que c’était la première fois qu’il y avait autant de dauphins à rester si  longtemps près de gens. Quelle chance nous avons eue, nous avons passé un super après-midi !





Le lendemain nous nous levons très tôt pour partir à la rame sur les eaux matinales afin d’écouter les bruits de la nature aux aurores. Quand les humains sont endormis, la nature se réveille… On entend les gazouillis des innombrables oiseaux, les cris des gros singes, et au loin on voit le soleil qui se lève lentement… Il est 6 heures du matin et on en prend plein les yeux et les oreilles.
 
Plus tard, après un bon petit déjeuner, nous allons pêcher ; fil de nylon et morceaux de viande pour essayer d’attraper des piranhas. Marius a appris qu’à la pêche il faut s’armer de patience et que malgré tout on peut quand même revenir bredouille ! 

Lison a trouvé un poisson !
Puis nous avons refait le trajet inverse pour rejoindre Rurrenabaque (trajet en 4x4 interminable !!)

Demain nous repartons en excursion, cette fois-ci nous irons dans la jungle.

                                                                                                                               

                                                                                                                                    * note du correcteur

mardi 4 juin 2013

Ces ptites phrases qui nous font rigoler

Maman à Lison : C'est qui ta maman chérie ?
Lison : C'est papa... (!!)
Maman : Mais non, il faut dire "c'est toi". Alors c'est qui ta maman chérie ?
Lison : C'est moi !

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Marius montrant un petit chien à papa. "ça c'est une chiote, parce que c'est un bébé fille chien..."

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En balade...

Lison dit à maman : Fais gaffe maman de pas tomber pou pas te casser la chemille !!

De retour après une balade de 8 kms... Le guide en a eu marre de nous attendre, il a fini par nous laisser ! Nous avons dû mettre 3/4 d'heure pour faire les quelque derniers 200 mètres pour rentrer au village. Les enfants s'arrêtant à chaque instant devant un caillou, une pierre, un bout de bois

Petite pause "Clinique vétérinaire Playmobiles" à l'hôtel, avec leur copine